Transcription

Salut !

En ce moment, je voyage pas mal le week-end, et pour m’occuper dans le train j’aime bien prendre des petits jeux. Comme il n’y a pas forcément beaucoup de place et que mon copain préfère faire du téléphone ou dormir plutôt que de jouer avec moi… les choix sont assez limités.

C’est pour ça que j’aime bien prendre des casses-têtes en solo. Alors, solo, oui et non, puisqu’en fait même s’ils sont annoncés pour 1 joueur, on peut très bien y jouer à plusieurs. Et… d’ailleurs j’aime bien y jouer à plusieurs. Je préfère même limite ça. On cherche tous la solution, on réfléchit ensemble, on s’entraide, et je trouve que ça met vraiment une ambiance assez sympa. C’est ce qui arrive généralement dans le train quand j’en sors un. Après un premier niveau toute seule, Alex peut pas s’empêcher de regarder, et de participer. En me disant au début « ah oui t’aurais du faire ça ou ça », ou même juste il prend des tuiles et il commence à les bouger, etc.

De façon générale, j’aime bien les casse-têtes. Ca occupe pas toute une soirée, mais ça peut très bien… pendant un café, voyez, une pause en randonnée ou juste 10 minutes à perdre.

Je me suis dit que ça pouvait être sympa de vous présenter mes 5 casse-têtes préférés, ceux que j’aime particulièrement sortir et ressortir, et même présenter aux gens. Certains sont dans ma ludothèque depuis longtemps, et d’autres sont beaucoup plus nouveaux, alors je suis pas sure qu’ils soient tous dispo. A vous de voir si ça vous intéresse.

Comme d’habitude y’a pas spécialement d’ordre, c’est pas parce qu’il y en a un que j’ai mis en 1er, en 2e ou en 3e que c’est vraiment un top. C’est juste qu’ils sont venus dans cet ordre naturellement, mais je les aime tous plus ou moins pareil.

Alors si vous êtes prêts, c’est parti pour mes 5 casse-têtes en solo préférés !



Villageo

Dans Villageo, le but est de placer toutes les tuiles en respectant les contraintes de la fiche. La couleur sur la case indique de quelle couleur doit être la tuile juste au dessus. En plus de ça, deux tuiles de même couleur ne peuvent pas être adjacentes, même en diagonal. Et… c’est tout. Niveau règles, on fait difficilement plus simple.

Le jeu est composé de 60 défis répartis en 3 niveaux de difficulté. Sur chaque fiche, on a le défi d’un côté et la solution de l’autre. Par contre, il y a aucun indice, soit on y arrive, soit on rate. Il n’y a pas non plus moyen de voir à la fois le défi et la solution, à moins de glisser les pièces et puis de retourner ensuite la feuille. Mais bon, la solution sert pas franchement à moins qu’on soit vraiment bloqué et qu’on veuille vraiment réussir absolument. Sinon ça va surtout être on essaye, on rate, on réfléchit, etc. La solution je trouve qu’elle est moins utile que les indices, et ça ça manque pas mal.

Les premiers niveaux sont assez faciles, même très faciles, on a plein d’informations, et les derniers sont vraiment complexes. D’une façon générale, je trouve que le jeu est plutôt bien dosé, en tout cas la difficulté, et qu’on peut vraiment trouver des défis qui sont à son niveau. Moi par exemple, j’avais fait une vidéo du premier niveau de difficulté il y a longtemps, ou en fait j’avais essayé d’aller le plus vite possible. Comme ça même si c’était trop facile, comme ça, ça me mettait un petit peu un vrai défi. Et on peut quand même s’amuser sur les niveaux qui nous correspondent pas forcément.

Je trouve que Villageo est un bel exercice de logique. Je sais pas si vous connaissez les jeux ou on doit mettre des tentes ou des batailles navales, vous savez sur les magazines. Et moi j’ai l’impression de jouer à ça. Il faut dire par exemple sur la ligne ou la colonne « il y a tant de tentes », ou pareil sur les bateaux, etc. Et voila, pour moi c’est ça Villageo, et comme c’est quelque chose que j’aime beaucoup… j’aime beaucoup.

Les tuiles sont épaisses et colorées, avec plein de petits détails en plus. Chaque tuile a une illustration différente, ce qui est sympa à regarder quand on bloque.

Les bordures par contre ça offre un cadre, mais au final elles sont pas super utiles, et moi maintenant je m’en passe totalement. Faut juste un petit peu faire attention quand on les place pour pas trop bouger, mais je trouve qu’elles sont plus contraignantes qu’autre chose et que ça apporte vraiment rien du tout.

Voila, c’est un jeu, comme je vous dit, qui me plait bien dans sa simplicité, dans ses règles qui sont vraiment faciles, dans la logique pure et dure mais qui est plutôt facile quand même dans ma liste. C’est pas l’un des plus compliqués.

Zip City

Dans Zip City, on retourne en enfance, puisque le but ça va être de créer un parcours pour faire glisser des billes. Alors il y a un espèce de gros plateau qui est légèrement penché, et les billes elles sont placées tout au dessus dans des genres de starting blocks, voyez. Ce qui fait qu’une fois qu’on les ouvre, en fait, qu’on enlève le truc, elles vont glisser naturellement.

Alors le jeu est composé de 40 défis, qui sont répartis en 4 niveaux de difficulté. Chaque niveau indique les tuiles et les billes à utiliser. Chaque niveau indique les tuiles et les billes à utiliser, et certaines sont déjà placées. Alors celles la elles peuvent pas être retournées ou même déplacées. Elles bougent… pas du tout. Par contre les autres on peut les mettre dans n’importe quel sens, tant que ça accroche bien sur le plateau.

Une fois qu’on pense avoir réussi, on va libérer les billes, et on regarde tout simplement si elles arrivent sur le même élément que ce qui est inscrit sur la fiche. Si c’est réussi c’est super, sinon il n’y a plus qu’à recommencer. Attention parce que parfois, il y a un ordre à respecter. Si la bille bleue doit arriver avant la jaune, faut que ça soit aussi le cas dans la vraie vie… si on peut dire ça comme ça.

Ce que j’aime bien dans ce jeu, c’est qu’on doit réfléchir sur plusieurs plans : d’abord parcours, et ensuite la pente. Si la bille va assez vite, en fait, elle peut remonter avant de redescendre. Et ça franchement, c’est une belle prise de tête. Je trouve que la difficulté, d’une manière générale, est plutôt bien dosée. On est un cran au-dessus de Villageo, mais les premiers niveaux sont aussi très faciles, et ensuite les difficiles sont… difficiles quoi, classique.

Le fait de voir concrètement sa bille se déplacer, ça c’est vraiment sympa ! On se contente pas de suivre du doigt ou de poser les éléments, on a vraiment quelque chose de concret, et on sait vraiment si c’est réussi ou non, mais de façon réelle.

Le plateau fait aussi rangement, et tout tient dedans si on optimise. Par contre, il y a vraiment beaucoup de plastique, et la piste n’a jamais l’air très stable. Une fois ou deux, on s’est dit que si ça marchait pas comme il fallait, en fait c’était à cause de la piste qu’était pas bien comme il faut… alors qu’en fait on avant pas bien mis les billes, les parcours, etc, mais c’est vrai qu’on se pose parfois la question, et la piste a l’air de pouvoir tomber n’importe comment.

Bon par contre c’est pas un jeu pour les transports, on peut pas se poser sur une table de train et puis le sortir. Ce serait vraiment un coup à perdre toutes ses billes, et puis même le parcours… enfin bref, c’est vraiment pas fait pour ça. Bon par contre il peut s’emmener en vacances et se jouer tranquillement sur une table.  Ou juste rester chez soi. Chez moi je l’ai jamais pris en vacances et ça marche très bien. Je le sors de temps en temps, je le présente à mes amis, à la famille, et généralement il marche bien, ça plait. C’est un jeu que je trouve qui est original, addictif.

Il fait partie d’une gamme, la gamme Logiquest, avec d’autres jeux de logiques en 3D et en plastique. Si vous aimez ce genre de jeux, je vous conseille d’y jeter un œil, surtout du côté de Zip City que je viens de présenter, mais aussi d’un autre qui s’appelle Shadow Glyphs qui, lui, qui joue avec les ombres.

L’Atlantide

L’Atlantide est un casse tête en 3D, ou il faut placer des pièces pour créer un chemin entre la tour et le port. En fait, l’Atlantide est en train de couler et nous on essaye de s’échapper. On doit donc incarner un petit personnage (imaginaire en fait, il existe pas) qui tente de s’échapper en passant par les ponts, les passages, etc. Il peut monter ou descendre les escaliers, mais il peut… alors il peut sauter aussi, mais en montant, pas en descendant directement un étage.

On a des blocs qui peuvent se poser directement sur le plateau, mais aussi dans certains niveaux il est possible de les empiler … façon lego vous voyez. Et faut faire ça d’ailleurs pour réussir les niveaux, et c’est pas toujours facile, surtout les premières fois, de se dire « ah ben on peut faire ça ».

Le jeu propose 60 défis à la difficulté croissante. Les premiers sont très simples et les derniers sont juste horribles ! Y’a une grosse grosse différence. La mise en place indique quelles pièces utiliser, et certaines pièces sont déjà placées, un peu comme dans Zip City. Eux on peut pas les bouger. Les défis les plus simples proposent entre 2 ou 3 pièces, et les plus compliqués 4 ou 5. Et ça devient infernal de savoir comment les placer, à quel moment les placer, comment les tourner, et pfiou, pas facile du tout à 4/5 pièces. On a une solution en fin de livret, en 2D avec une vue au dessus, et on peut repérer les différentes pièces grâce à la couleur. C’est assez bizarre au début, mais au final c’est plutôt facile de comprendre puisqu’il y a l’orientation qui joue.

Si comme moi vous avez réussi à perdre votre livret, pas de panique ! On peut le retrouver directement sur le site de Smartgames. En fait, ils l’envoient par mail. On peut aussi possible de se le faire renvoyer , ou alors se faire envoyer des pièces de rechange directement depuis le site.

Je trouve que le jeu est trop mignon, avec ses petits escaliers, et ses petits ponts, et… bon, il est tout en plastique comme Zip City, mais il est beaucoup plus petit et compact aussi. Je trouve aussi que les pièces ont l’air plus solides et plus stables. Elles sont vraiment faciles à manipuler, à mettre les unes dans les autres, etc, à se ranger aussi. Elles se rangent vraiment très très facilement. Et ce qui est pas mal aussi c’est qu’on peut utiliser le plateau. En fait, le couvercle devient la mer en dessous et on peut mettre les pièces qu’on utilise pas. Et en plus, c’est un peu sympa comme immersion, puisqu’on a la mer, on a l’île, etc. Je trouve que c’est une bonne idée.

Moi je me suis amusée à le faire flotter dans une piscine plusieurs fois, et à jouer de cette manière là, pour… c’était rigolo voilà, et ça fonctionne très bien, ça flotte, si vous vous posiez la question.

Pour réussir les différents défis faut une bonne visualisation dans l’espace. La 3D elle est pas à juste pour faire joli, en fait, elle est vraiment bien utilisée. Et je trouve que c’est mon Smartgames préféré d’ailleurs. Y’a beaucoup de Smartgames et celui la c’est celui que je préfère dans la gamme, même si je trouve un petit peu dommage qu’on puisse juste imaginer le personnage, qu’on ait rien pour le représenter. Mais d’un autre côté je me dis que si jamais on avait quelque chose, il serait vraiment tout petit parce que le jeu n’est pas très grand, et c’est un coup à le perdre ou… comme c’est pour les enfants, enfin bref, c’est pas… A la fois j’aurais envie, à la fois je trouve ça compliqué de le mettre en place. Mais bon, c’est vrai que du coup, on est obligé de suivre avec le doigt, et qu’un petit personnage ça aurait été sympa.

Par Odin

Par Odin se joue avec des dés, mais qu’on ne lance pas du tout ! C’est contre-naturel mais c’est comme ça. Le but c’est de résoudre toute une série de défis pour montrer aux dieux qu’on est pas n’importe qui, qu’on est vraiment fort.

Chaque face de dé est associée à un personnage et à un numéro. Pour réussir le défi, il faut juste faire 2 tas de force égale. Dans les premiers niveaux c’est vraiment facile, mais par contre, ensuite on va avoir des personnage, etc… des chiffres qui ont des numéros variables, et qui dépendent du coup du côté, d’avec qui ils sont, etc. Ça a l’air facile, et ça l’est au tout début, mais autant dans les premiers niveaux ont a juste à vraiment équilibrer en mettant des chiffres, autant ensuite on va avoir des personnages avec des chiffres qui sont variables. C’est pas facile, parce qu’il faut faire du calcul mental, et quand on n’a plus l’habitude, franchement, je vous dis c’est pas évident du tout !

Par Odin propose 50 défis, qui sont bien dosés, qui sont progressifs, qui sont ni trop simples ni trop compliqués. Et plus on avance, en fait, plus on va découvrir des nouveaux éléments, avec de nombreux exemples qu’ils vont nous mettre dedans. Voilà… après, j’ai pas encore fini le jeu, mais je me suis jamais retrouvée totalement bloquée. Quand j’y arrive vraiment pas, je laisse tomber un petit peu, je reviens plus tard, et pour l’instant je m’en suis toujours bien sortie. Je fais des pauses, et voilà… je trouve que c’est bien dosé aussi niveau difficulté.

D’ailleurs l’un des gros points forts du jeu, c’est le livret. Parce que… le jeu se contente pas simplement de mettre les défis les uns à côté des autres, on a toute une histoire et presque chaque défi est introduit par un petit texte. On a aussi des différentes parties, qui introduisent la aussi encore des différents dés, avec un personnage qui parle… Voilà, on a quelque chose d’assez sympa de ce côté là, un aspect narratif qu’il y a pas dans les autres.

La difficulté est progressive et chaque type de face est amené au fur et à mesure. Y’a des exemples, on comprend vraiment tout bien, c’est très bien fait.

D’ailleurs c’est l’un des seuls jeux aussi, ou le seul en tout cas que je connais, qui nous propose un « après ». Une fois qu’on a terminé tous les défis, on peut quand même continuer à jouer, soit en solo, soit à plusieurs. En fait ce qui se passe c’est qu’on va lancer les dés, et qu’on va essayer de les équilibrer. Y’a un site qui nous indique si jamais c’est impossible ou si c’est possible, et ensuite voilà, on lance les dés, et puis on se débrouille avec ça.

La boîte elle a beaucoup de vide, je trouve ça vraiment dommage. Par contre on peut le transporter facilement si on le met dans un petit sac en plastique. Moi la boîte elle est rangée dans ma ludothèque, et elle sort plus du tout en fait, je prends juste le sac en plastique avec les dés. Comme on les lance pas, on peut jouer vraiment n’importe où, en fait, y’a juste à les sortir et les poser, et faire notre défi. Surtout si le livret est en PDF, la c’est encore plus simple.

Y’a un autre jeu qui est sorti, je sais plus comment il s’appelle, mais je crois que c’est peut être chez les Incas , ou dans la forêt, dans la jungle… qui est en fait le suivant, après Par Odin. J’y ai jamais joué, mais je crois qu’il est dans le même style, peut être en plus compliqué.

Mais en tout cas si vous aimez bien ce type de jeu, si ça vous intrigue, n’hésitez pas à regarder l’un ou l’autre, et à vous faire une idée par vous même. Je sais pas si la démo est encore disponible, je suis pas sure, mais à un moment il y avait une démo ou on pouvait tester un petit peu le jeu.

M.A.R.I. et l’usine foudroyée

Dans M.A.R.I. et l’usine foudroyée, le but est de déplacer M.A.R.I. de son point de départ à son point d’arrivée, en plaçant des jetons sur une ligne de commande.

Un peu comme un jeu de programmation. En fait, c’est un jeu de programmation, tout simplement : en haut… enfin, tout droit, en tournant, différentes choses en fait.

Lorsqu’on ajoute un jeton, on peut le faire au début de la ligne, à la fin, ou entre deux jetons. Dès qu’un jeton est placé, on résout toute la ligne. Dès qu’un jeton est placé, on va refaire toute la ligne de commande. Ce qui fait qu’au début on fait une seule action, ensuite on en fait deux, trois, etc.

Si M.A.R.I. arrive exactement sur son point d’arrivée à la fin d’une séquence, c’est gagné ! Le jeu propose en tout 40 défis, et les différents types d’actions sont amenées progressivement. On commence avec les déplacements, donc, en haut en bas, etc… tout droit plutôt, je veux dire, et… et tourner, attendre, etc. Puis ensuite on apprend d’autres choses.

Par contre attention, la difficulté monte très vite, et le jeu devient très vite exigeant, vraiment exigeant. Les indices et la solution permettent de se dire qu’au pire, il y a moyen de trouver quelque chose et de s’en sortir. Mais c’est quand même plus gratifiant quand on y arrive après plusieurs essais, ça fait vraiment plaisir. Mais bon au pire y’a ça, y’a les indices, qui sont sur une feuille à côté. C’est pas grave de pas y arriver tout de suite, parfois je range le jeu, je réessaye une prochaine fois, plus tard, et je reviens comme ça un petit peu, petit à petit.

J’aime bien les petits textes qui donnent un peu d’ambiance. On se demande si M.A.R.I. va arriver au bout de sa mission, qui est en fait d’aller voir si l’ordinateur se… est encore… si ça va bien quoi. Parce qu’on ne peut pas dire qu’il est vivant, mais y’a eu un problème. Et du coup elle voyage dans l’usine foudroyée pour essayer de comprendre ce qu’il s’est passé.

Le jeu prend pas de place. Bon, dans la boîte si, c’est comme Par Odin : une grosse boîte, enfin, une boîte moyenne, beaucoup de vide. Mais quand on le transporte dans son plastique ça prend vraiment pas de place, et on peut même le sortir sur la tablette d’un train en mettant uniquement les jetons qu’on a besoin pour le niveau. C’est assez facile, ça prend pas beaucoup de place, ça se range très rapidement si y’a besoin. Et moi j’y joue comme ça beaucoup d’ailleurs, je trouve que c’est sympa.

Ce que j’aime bien aussi dans M.A.R.I, c’est que ça fait penser un peu à de la programmation, mais pas des actions, la programmation aussi en informatique tout simplement. Et de voir ce petit robot, de mettre devant, derrière, etc, je me demande si ça peut pas servir un petit peu peut-être d’initiation à la programmation, ou quelque chose dans le genre en tout cas.

C’est un jeu que j’ai beaucoup aimé dès que j’ai commencé à y jouer. J’ai eu un gros coup de coeur dessus. En ce moment il sort beaucoup parce que je l’ai pas depuis super longtemps, mais j’avance dans ma petite usine et j’ai hâte de découvrir la suite. Déjà la, commence à y avoir beaucoup d’actions et je commence à avoir un petit peu de mal quand même.


Voilà, j’espère que cette petite présentation vous a plu, et qu’elle vous a peut-être permis de découvrir des casse-têtes sympa.

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Le jeu présenté peut ou non avoir été envoyé par l'éditeur.