Transcription
Mysterium est un jeu d’Oleg Sidorenko et Oleksandr Nevskiy. Il est illustré par Xavier Collette et Igor Burlakov. Il est édité par Libellud.
Il se joue de 2 à 7 joueurs en une 40ène de minutes.
Contexte
Dans Mysterium, l’un des joueurs incarne un fantôme. Les autres sont des médiums qui tentent de communiquer avec lui pour en apprendre plus sur les circonstances de sa mort.
Le jeu
Un jeu d’enquête coopératif
Mysterium est un jeu coopératif : les joueurs gagnent ou perdent ensemble. Il se compose de 2 phases :
- Reconstitution des évènements : chaque médium doit trouver un set de 3 éléments qui lui est propre : suspect, lieu, et arme du crime. Ils ont 7 tours pour y parvenir.
Le plateau représente les différentes étapes. Les joueurs peuvent évoluer de manière séparée. - Révélation du coupable : si la phase 1 est réussie, les médiums doivent deviner quel set est le bon. Les joueurs répondent individuellement et ont plus ou moins d’informations suivant la justesse de leurs déductions en phase 1.
Communication asymétrique
Le fantôme n’a pas le même rôle que les médiums. Il est le seul à connaître la solution derrière son paravent.
Il n’a pas le droit de parler et ne peut communiquer avec les autres joueurs qu’à travers des cartes Vision. Au début de chaque tour de la phase 1, il donne une ou plusieurs carte Vision à chaque médium. Les joueurs doivent procéder par association d’idée pour retrouver la carte qui correspond : couleur, éléments, thème, etc.
En phase 2, il pose 3 cartes au centre de la table : une pour le suspect, une pour le lieu, et une pour l’arme.
Un jeu poétique
Mysterium est un jeu poétique. Les illustrations des cartes sont magnifiques. L’ambiance générée par les contraintes des règles et par la distance qui se fait entre les médiums et le fantôme rend le jeu très immersif.
Si vous aimez
Codenames images est un jeu d’association d’idée par équipe. Pour chaque équipes, l’un des joueurs doit faire deviner des images, en énonçant à chaque fois un mot et un chiffre. Le chiffre correspond au nombre de tuiles visées par le mot.
Mysterium est un jeu d’Oleg Sidorenko et Oleksandr Nevskiy. Il est illustré par Xavier Collette et Igor Burlakov, et édité par Libellud.
Il se joue de 2 à 7 joueurs en une 40ène de minutes.
Contexte
Dans Mysterium, l’un des joueurs incarne un fantôme. Les autres sont des médiums qui tentent de communiquer avec lui pour en apprendre plus sur les circonstances de sa mort.
Le jeu
Un jeu d’enquête coopératif
Mysterium est un jeu coopératif : les joueurs gagnent ou perdent ensemble. Il se compose de 2 phases :
Reconstitution des évènements: chaque médium doit trouver un set de 3 éléments qui lui est propre : suspect, lieu, et arme du crime. Ils ont 7 tours pour y parvenir.
Le plateau représente les différentes étapes. Les joueurs peuvent évoluer de manière séparée.
Révélation du coupable : si la phase 1 est réussie, les médiums doivent deviner quel set est le bon. Les joueurs répondent individuellement et ont plus ou moins d’informations suivant la justesse de leurs déductions en phase 1.
Communication asymétrique
Le fantôme n’a pas le même rôle que les médiums. Il est le seul à connaître la solution derrière son paravent.
Il n’a pas le droit de parler et ne peut communiquer avec les autres joueurs qu’à travers des cartes Vision. Au début de chaque tour de la phase 1, il donne une ou plusieurs carte Vision à chaque medium. Les joueurs doivent procéder par association d’idée pour retrouver la carte qui correspond: couleur, éléments, thème, etc.
En phase 2, il pose 3 cartes au centre de la table : une pour le suspect, une pour le lieu, et une pour l’arme.
Un jeu poétique
Mysterium est un jeu poétique. Les illustrations des cartes sont magnifiques. L’ambiance générée par les contraintes des règles et par la distance qui se fait entre les médiums et le fantôme rend le jeu très immersif.
Si vous aimez
Codenames images est un jeu d’association d’idée par équipe. Pour chaque équipes, l’un des joueurs doit faire deviner des images, en énonçant à chaque fois un mot et un chiffre. Le chiffre correspond au nombre de tuiles visées par le mot.