Transcription
Claim est un jeu de plis et de majorité pour 2 joueurs. Les joueurs recrutent leur équipe, puis s’affrontent pour la victoire.
Succession royale
Dans Claim, le roi est mort, et il faut lui trouver un successeur. Le Royaume est divisé en 5 factions, représentées par des cartes.
Une partie de Claim se divise en 2 phases : une phase de recrutement, puis une phase de combat.
A part les gobelins, chaque faction possède un pouvoir particulier, qui peut se déclencher en phase 1 ou 2.
Phase de recrutement
Les joueurs commencent la phase de recrutement avec 13 cartes chacun. Les cartes restantes forment une pioche. Chaque manche, la première carte est retournée, et les joueurs s’affrontent pour la récupérer.
Le premier joueur choisit l’une des cartes de sa main et la pose face visible devant lui. Son adversaire fait de même… mais avec quelques contraintes. S’il possède une carte de la même faction que le premier joueur, il est obligé de la jouer. Sinon, il peut poser n’importe quelle carte, mais ne peut pas remporter le pli.
Les Doppelgängers sont la seule exception. Ils peuvent être posés même si la carte du premier joueur est d’une faction différente.
Celui qui a la plus haute valeur gagne ! Il prend la carte révélée en début de manche et la place de côté face cachée. En compensation, le perdant pioche la première carte de la pile, et fait de même.
La phase se termine lorsqu’il ne reste plus de carte.
Phase de combat
Lors de la phase de combat, les joueurs s’affrontent avec les cartes qu’ils ont gagné lors la première phase.
Les plis fonctionnent de la même manière qu’en phase 1, mais le gagnant remporte directement les cartes jouées.
A la fin de la partie, un décompte des points a lieu, faction par faction. Pour chaque faction, le joueur majoritaire gagne 1 point. Le vainqueur est celui qui a le plus de points.
Pour conclure, Claim est un petit jeu de plis assez classique, mais sa découpe en 2 phases est assez originale. Le nombre de factions restreint le rend très accessible.
Le jeu présenté a été acheté.
